photo Le conte des contes

Le conte des contes

Lecture - Conte - Poésie, Spectacle, Théâtre

Caen 14000

Du 13/01/2022 au 15/01/2022

Et si les contes guérissaient ? Voici la médecine inédite et merveilleuse imaginée par le Docteur Basilio pour sauver les petits Prince et Secondine, menacés de mélancolie. Chantés par sept comédiens-musiciens, contes et légendes se succèdent alors dans une mise en scène burlesque et pleine de fantaisie, comme les aime Omar Porras.   Après la zarzuela baroque Coronis – immense succès de la saison 2019/2020 du théâtre de Caen –, le metteur en scène a cette fois-ci puisé son inspiration dans Le Conte des contes. Un recueil paru au XVIIe siècle où l’Italien Giambattista Basile a rassemblé des histoires héritées de plusieurs siècles de tradition orale paysanne. Une véritable mine d’or pour les frères Grimm, Charles Perrault, Walt Disney, un ouvrage à la source des contes les plus connus aujourd’hui : La Belle au bois dormant, Cendrillon, Blanche-Neige... Et en utilisant comme à son habitude les ressorts de la machinerie du théâtre, Omar Porras ajoute du merveilleux au merveilleux. Il ne pouvait rêver mieux pour fêter les 30 ans de sa compagnie, Le Teatro Malandro ! Une grande fresque facétieuse à partager en famille, dès 12 ans.  

photo Djân - Duo Karine Gonzales / Idriss Agnel

Djân - Duo Karine Gonzales / Idriss Agnel

Musique, Musique du monde, Danse - Bal - Cabaret

Caen 14000

Le 22/01/2022

Dans le cadre de son programme Musiques du monde, le Théâtre de Caen propose de voyager à travers les continents, entre musiques traditionnelles et musiques du monde. Djân est un projet éclectique, traversé de plusieurs langues, de plusieurs musiques et de plusieurs gestuelles. Un duo hybride et caméléon aux multiples influences : flamenco, musique persane, musiques marocaines, inspiration celtique, rock, percussions corporelles, danse flamenca, danse soufi, danses gitanes. Djân, ce mot persan à la fois spirituel et affectueux, inspire l'ouverture, la rencontre avec l'autre, l'affection que l'on peut porter à une culture sans pour autant en être issu. Karine Gonzales et Idriss Agnel, frère et sœur d'âme vagabonde, nous invitent à un voyage dans le temps et dans l'espace, entre tradition et modernité, élégie intimiste et cérémonie avec le public.

photo L’Aventure du chaland-sablier de Bamako

L’Aventure du chaland-sablier de Bamako

Conférence - Débat

CAEN 14000

Le 03/03/2022

Le Caen Yacht Club organise un café maritime sur l'aventure du chaland-sablier de BamakoPatrick Féron, chercheur spécialisé en construction navale traditionnelle nous emmène sur le delta du Niger, sur cette mer de 30 000 km2 au plus fort de la crue, entre Bamako et Tombouctou. Ce delta accueille une tradition piroguière immémoriale. En 1828, l’explorateur français René Caillié est le premier à décrire la Grande pirogue de Djenné, neuf autres modèles enrichissent l’inventaire. À partir de 1884, des enseignes de vaisseau français reconnaissent le fleuve Niger jusqu’à Tombouctou. Ces marins du Niger introduisent la tradition d’architecture d’un chaland à fond plat. Aujourd’hui, l’industrie de ce chaland métissé est devenue fleurissante à Bamako, sous l’effet de l’expansion urbaine de la mégapole malienne. Le parc de plus de 53 000 pirogues, concentré sur les régions de pêche de Tombouctou, Mopti, Ségou démontre la vivacité de la tradition ancestrale. Parmi celles-ci le chaland-sablier résulte d’un savoir-faire piroguier des plus anciens et d’une tradition d’architecture nautique novatrice. La découverte de cette aventure nous entraîne sur les pas des charpentiers maliens du[...]

photo L’Aventure du chaland-sablier de Bamako

L’Aventure du chaland-sablier de Bamako

Manifestation culturelle

Caen 14000

Le 03/03/2022

Le Caen Yacht Club organise un café maritime sur l'aventure du chaland-sablier de Bamako Patrick Féron, chercheur spécialisé en construction navale traditionnelle nous emmène sur le delta du Niger, sur cette mer de 30 000 km2 au plus fort de la crue, entre Bamako et Tombouctou. Ce delta accueille une tradition piroguière immémoriale. En 1828, l’explorateur français René Caillié est le premier à décrire la Grande pirogue de Djenné, neuf autres modèles enrichissent l’inventaire. À partir de 1884, des enseignes de vaisseau français reconnaissent le fleuve Niger jusqu’à Tombouctou. Ces marins du Niger introduisent la tradition d’architecture d’un chaland à fond plat. Aujourd’hui, l’industrie de ce chaland métissé est devenue fleurissante à Bamako, sous l’effet de l’expansion urbaine de la mégapole malienne. Le parc de plus de 53 000 pirogues, concentré sur les régions de pêche de Tombouctou, Mopti, Ségou démontre la vivacité de la tradition ancestrale. Parmi celles-ci le chaland-sablier résulte d’un savoir-faire piroguier des plus anciens et d’une tradition d’architecture nautique novatrice. La découverte de cette aventure nous entraîne sur les pas des charpentiers maliens[...]